Yoruba Migrants: A Study of Rural-Urban
Linkages and Development

Abstract of a Master of Arts Thesis by David A. Redd


Abstract

In looking at rural-urban linkages, this thesis addresses the extent to which social research may be generalized within development policy. Studies of Yoruba migrants in south-western Nigeria demonstrate that the ties between migrants and their hometowns can have a positive impact on local community development, an outcome which some researchers would suggest reflects a larger trend throughout the Third World. However, using information on the historical and cultural background of the Yoruba as well as a brief examination of Yoruba immigrants to North America, this study proposes that the utility of these ties in hometown development relates more to the past circumstances of Yoruba migration than the existence of ‘structural regularities’ in the migrant linkages of developing countries as a whole. These conclusions are then used to argue that one cannot generalize the results of migrant-hometown studies in policy formation without an understanding of the historic evolution of those ties.

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Résumé

À travers une étude des liens entre village et campagne, cette thèse cherche à trouver dans quelle mesure on peut généraliser la recherche sociale dans la politique de développment. Des études sur le mouvement migratoire des yoruba du sud-ouest du Nigeria montrent que le maintien de relations entre les migrants et leurs milieux d’origine peut porter une importance profonde pour le développment communautaire, un résultat que certains attribuent au Tiers Monde entier. Cependant, avec des informations sur la situation historique et culturelle des Yoruba ainsi qu’un commentaire sur des immigrés yoruba en Amérique du Nord, cette analyse propose que l’utilité de ces liens pour le développmentrural correspond plus aux circonstances de la migration yoruba au passé qu’à la présence des ‘régularités structurales’ (‘structural regularities’) dans le procès migratiore des pays en développment. Ces conclusions donnent lieu à l’argument que l’on ne peut pas généraliser les résultats des études des rélations village-campagne sans tenir compte de l’évolution historique de ces liens.